Une alliance nationale visant à fournir une base factuelle pour l'établissement et l'intégration des nouveaux arrivants, ainsi que pour la promotion de communautés accueillantes au Canada.
L’objectif principal de cette recherche est d’identifier et d’analyser les pratiques d’organismes de régionalisation de l’immigration auprès des milieux d’emplois dans différentes régions du Québec. Les stratégies vis-à-vis des employeurs potentiels doivent être analysées de manière plus spécifique pour comprendre la place prise, à donner…
De façon générale, le taux d’emploi au Canada n’a pas augmenté depuis le recul enregistré lors de la récession en 2008-2009
Pendant la récession (2008-2009), le taux d’emploi des immigrants a décliné plus rapidement et a, subséquemment, augmenté plus vite que le taux chez les nés Canadiens.
Ceci est essentiellement dû à la tendance observée chez les hommes (chez les immigrants comme chez les nés Canadiens)
L’écart des taux d’emploi des immigrants est maintenant redevenu le même qu’à son niveau à la fin de 2007
La grandeur de l’écart du taux d’emploi est un phénomène largement féminin. Parmi les immigrants hommes, il n’existe un écart dans le taux d’emploi que pour ceux qui vivent au Canada depuis moins de cinq ans
L’écart du taux d’emploi est persistant dans certains grands marchés du travail, particulièrement au Québec
Il y a relativement plus d’immigrants que de nés Canadiens ayant un diplôme universitaire. Les individus avec un diplôme universitaire (immigrants et nés Canadiens) ont des taux d’emploi relativement plus élevés; cependant, même après 10 ans au Canada, les immigrants (hommes et femmes) avec un diplôme universitaire ont toujours des taux d’emploi plus faibles que leurs homologues nés Canadiens
Les immigrants hommes récents avec moins qu’un diplôme d’études secondaires ont des taux d’emploi qui augmentent avec le temps et dépassent ceux des nés Canadiens, alors que les immigrantes connaissent des écarts significatifs dès le début, taux qui s’égalisent après 10 ans au Canada
Overall, Canada’s employment rate has not increased from the dip that occurred during the 2008-2009 recession
During the recession (2008-2009), the employment rate of immigrants declined faster and subsequently increased faster than the Canadian-born rate
This was, essentially, due to the pattern for males (both for immigrants and for the Canadian-born)
The employment rate gap for immigrants is now back to its level at the end of 2007
The size of the employment rate gap is largely a female phenomenon. Among male immigrants, there is an employment rate gap only for those who have lived in Canada for less than 5 years
The employment rate gap is persistent in some major labour markets – especially in Quebec
There are relatively more immigrants than Canadian-born with a university degree. Individuals with a university degree (both immigrants and the Canadian-born) have relatively higher employment rates; however, even after 10 years in Canada, immigrants (both males and females) with a university degree still have a lower employment rate than their Canadian-born counterparts
Recent male immigrants with less than a high school diploma have employment rates that rise over time to exceed those of their Canadian-born counterparts, while immigrant females exhibit significant early gaps and only draw even after 10 years in Canada
Pre-arrival services are considered important in the settlement and integration of immigrants and newcomers in Canada. Recent studies have indicated that pre-arrival services by host countries and pre-departure services by sending countries significantly contribute to the adjustment and adaptation of newcomers in destination communities. These types of services ultimately benefit individuals and countries at both ends of the migration journey.
The study examined the beliefs, views, and experiences of Somali families raising a child with or without autism (ASD) in Toronto and Minneapolis. The research looked at the impact of beliefs that rates of autism are high in Somali communities. Because different cultures have different…
The goal of this research project was to investigate the role of employers and the private sector in supporting (or not supporting) the integration of immigrants; to assess their knowledge and practices in regard to attracting, hiring and training immigrants and newcomers; and to provide a much needed snapshot of immigrant hiring practices, or lack thereof, in the region.
Pour le Canada dans son ensemble, la période 2009-2029 sera une période où le nombre d’individus âgés de 10 à 19 ans (nouveaux venus potentiels sur le marché du travail dans les prochaines dix années) est moins important que le nombre d’individus âgés de 55 à 64 ans (retraités potentiels du marché du travail dans les dix prochaines années).
Le « fossé » démographique entre les nouveaux venus potentiels et les retraités potentiels représente une possible demande démographique pour des immigrants.
Cependant, on s’attend à ce que la main d’œuvre continue d’augmenter étant donné le choix fait par des individus de plus de 65 ans de continuer à travailler.
La nature de notre calcul de la demande démographique pour des immigrants varie fortement entre les régions du Canada.
Certains endroits auront moins de 50 nouveaux venus potentiels pour 100 retraités potentiels – ce qui indique une plus forte demande pour des immigrants.
D’un autre côté, on estime que le Nunavut dans son ensemble devrait avoir 267 nouveaux venus potentiels pour 100 retraités potentiels, suggérant une forte compétition pour les emplois (donc on peut s’attendre à une émigration).